top of page

Projection dans la bibliothèque spécialisée en photographie de la Ville de Paris

"Le principe est d'assembler l'image fixe de la photographie et le mouvement du cinéma". Katrin Küchler, directrice du festival de cinéma de Dresde.


Le film photographique est un sous-genre très discret, peu connu, du cinéma. Il a eu une place particulière dans la programmation de ce festival allemand en 2016. Il a eu une place centrale pendant plusieurs années à Paris, dans le cadre du festival du film photographique. Mais ça n'a pas suffit pour lui faire perdre un peu de sa discrétion. Il permet pourtant d'allier, dans le documentaire comme dans la fiction, la captation instantanée de la photographie et le mouvement du cinéma donc, mais aussi la création musicale en guise d'illustration sonore, et surtout l'écriture d'un commentaire, c'est à dire des mots dits en off qui viennent approfondir l'image. Ce qui n'est déjà pas si mal.

Projeter mon film photographique dans l'auditorium d'une médiathèque, fût-elle parisienne, fût-elle spécialisée en photographie, ne changera rien à la sous-utilisation, la sous-représentation de ce sous-genre, mais telle n'est, heureusement, pas l'ambition de ces projections.

Leur ambition se trouve quelque part dans l'espoir que mon film trouve une résonance dans l'esprit et l'imaginaire du spectateur, un écho, un rebond, une appropriation même.


Il sera possible de le visionner toute la journée du samedi 27 mai, entre 10 et 18h, à l'aide d'une tablette en accès libre. Et à 15h, il sera possible de le regarder sur grand écran, avec d'autres spectateurs. Ces deux modes de visionnage sont en tout cas envisageables dans l'auditorium, au 2ème étage, entourés de plus de 250 photos prises en Asie et non loin des rayonnages abritant les plus de 3500 documents sur la photographie que possède la médiathèque.

À l'Affiche
Posts Récents
bottom of page