Publication d'un court essai sur "L'Inde fantôme" de Louis Malle (1969)
«Un Français en Inde en 1968 : avant même de découvrir ce qu'elle contient, cette équation (un sujet, un lieu, une date) suffit à elle seule de m'entraîner vers tout ce qu'elle pourrait m'offrir. Un Français en Inde en 1968 : c'est déjà, en soi, une belle promesse. »
Ce livre s'appelle donc Un Français, en Inde, en 1968. Il est préfacé par Cédric Mal, porte le n° ISBN 9782955632727, a été écrit en langue française, comporte 64 pages, est sans illustration, mesure 11 sur 17 cm et coûte 6 euros.
Ce sont les éditions du Blog documentaire qui le publient. Et s'il vous intéresse, vous pouvez écrire à leblogdocumentaire@gmail.com pour le commander, ou vous rendre à cette page.
Ce livre est un journal. Le journal d'un visionnage. Celui que j'ai tenu de façon irrégulière, dans une période comprise entre le 26 janvier et le 16 mars 2016, à mesure que je regardais tous les épisodes d'une série documentaire. Cette série s'appelle L'Inde fantôme. Elle nous vient d'un homme qui a passé plusieurs mois aux quatre coins du sous-continent indien à une date bien précise de notre histoire récente. Cet homme était cinéaste et s'appelait Louis Malle. C'est lui ce Français, en Inde, en 1968. C'est lui qui a donné naissance aux petits bijoux cinématographiques qui constituent son œuvre. Et il se trouve que j'ai tant aimé, d'emblée, dès les premières minutes du premier épisode, ce qu'il avait filmé, ce qu'il disait et ce qu'il nous montrait, et comment il nous le montrait, que j'ai pris ma plume dès le lendemain matin du visionnage d'origine. J'aurais pu composer un long éloge synthétique de cette série, ça ne me convenait pas. J'aurais pu me dissimuler derrière une analyse chaleureuse mais quelque peu impersonnelle, ça ne m'allait pas. Alors j'ai rapidement décidé que la forme d'un journal délibérément subjectif, forcément personnel, écrit évidemment à la première personne du singulier, serait le mieux à même de correspondre à tout l'effet formidable que cette série m'a procuré.
Le premier chapitre est à lire sur le site du Blog documentaire ici-même.
